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Une étudiante passionnée d’art
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- Quand l’université aide à viser juste
- Témoignage d’Aya, étudiante japonaise
Philippine Bardi de Fourtou, étudiante en deuxième année en DUT Techniques de commercialisation (tech de co) à l’IUT Bordeaux Montesquieu, et passionnée d’art, souhaite promouvoir les évènements culturels bordelais à travers l’association TCulture qu’elle préside aidée par Céline Brandolese et Margaux Bouquet.
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Quel est le rôle de l’association dont vous êtes présidente ?
Notre mission principale est d’enrichir la vie culturelle à l’IUT. On s’occupe à travers les réseaux sociaux de promouvoir les évènements culturels de la ville, principalement les expositions d’art. On essaie aussi de faire découvrir des artistes, peintres ou musiciens. L’association a été créée bénévolement par deux étudiantes l’an dernier, sans objectif pédagogique. Cependant, nous avons accompagné des projets tutorés. Par exemple, cette année, nous avons organisé une galerie éphémère à Nova Art Sud, en trouvant des partenariats, en encadrant toute la démarche commerciale. On est dans la même logique que la ville de Bordeaux, en matière de démocratisation de la culture. Notre proximité avec l’espace culturel Darwin, situé rive droite, facilite aussi cette démarche.
Pourquoi s’investir dans une association culturelle ?
J’ai toujours été intéressée par l’art, contemporain en particulier. Je profite de tout mon temps libre pour visiter des expositions. La formation tech de co est intéressante, mais je me suis rendue compte que la culture était un domaine trop important pour moi pour qu’il reste au second plan de ma vie. Avec le DUT, je pourrais concilier le management de projet, le marketing, et ma passion pour l’art. L’association me permet de mettre un pied dans mes projets professionnels, même s’ils semblent éloignés de ma formation. Le responsable du département, est très sensible aux projets culturels, ce qui facilite la réalisation de projets. J’ai déjà effectué un stage dans une galerie d’art (ADDICT Galerie) et à l’espace Pierre Cardin à Paris. Je me suis sentie dans mon élément dans ce microcosme.
Quels sont vos projets pour la suite ?
Mon stage de deuxième année se fera dans une galerie à Paris. Je m’occuperai de la communication et de l’organisation autour d’une rétrospective de photographies sur Kurt Cobain prises par le photographe Youri Lenquette. Après l’IUT, je ne sais pas encore. J’aimerais partir en Equateur, puis faire la licence en médiation culturelle à la Sorbonne. J’envisage aussi de passer le concours d’entrée à l’école du Louvre, une fois une licence en poche, en quatrième année.
Quelle est votre vision de l’art ?
L’art doit faire rêver, et donner de l’espoir. Selon moi, il est difficile de s’ennuyer. Chaque artiste puise son inspiration dans la société, sur différents sujets, qui peuvent paraître incompatibles. J’ai l’impression que l’art est en train de gagner beaucoup de place dans le quotidien, surtout à travers le street art. Aussi, il y a de plus en plus de considération, ne serait-ce qu’universitaire, à travers les écoles d’art ou de photographie, envers ce milieu. L’environnement commercial autour de l’art est pourtant très fermé, beaucoup d’argent circule, et il paraît superficiel. La Foire Internationale d’Art Contemporain m’a parut complètement surréaliste. Pour moi c’était un marché, où que ce qui se vend était présenté. Il n’y avait pas de démarche de découverte artistique. Même s’il peut paraître élitiste, l’art renvoie essentiellement à l’ouverture d’esprit, et au partage de ressenti.
Propos recueillis par Marie Grand
Mise à jour le 26/05/2014
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